07.04.2017
Genève — Les États parties ont longtemps compris que les obligations d'assistance aux victimes en vertu de la Convention “devraient être intégrés dans des politiques, des plans et des cadres juridiques plus larges des droits des personnes handicapées”. Pour poursuivre ce mandat et dans son rôle de Président du Comité de l'assistance aux victimes, S.E. Beatriz Londoño Soto, Ambassadrice de la Colombie auprès des Nations Unies à Genève, a rencontré des représentants du Comité des droits des personnes handicapées. La réunion avec le corps d'experts indépendants dirigé par la Dr Theresia Degener, qui surveille la mise en œuvre de la Convention relative aux droits des personnes handicapées, fait partie du mandat du Comité d'assistance aux victimes «garantissant les droits des victimes des mines dans des cadres plus larges tels que celui des droits des personnes handicapées».
Groupe de survivants des mines antipersonnel au ZimbabweLes deux parties considèrent qu'il est important de poursuivre le dialogue qui promeut les droits de toutes les personnes handicapées, y compris les survivants des mines antipersonnel.
Le Comité d'assistance aux victimes, qui comprend la Belgique, la Croatie et l'Équateur, travaille pour assurer la mise en œuvre des mesures pertinentes au Plan d'action de Maputo, y compris en diffusant une guide sur les rapports sur l'aide aux victimes : Guidance on Victim Assistance Reporting Le guide vise à «appuyer les rapports des États parties et à alléger le fardeau des États dotés de capacités limitées pour recueillir des informations», en fournissant un ensemble de questions d'orientation concernant la collecte d'informations sur le terrain.
Pour plus de renseignements veuillez contacter l'Unité d'appui à l'application à la Convention : isu(at)apminebanconvention.org.
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